Mes Ecrits, comme promis

Je commence par le tout premier (qui date)

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Spectre



C'était une nuit sans lune, une nuit sans brume,
Une brise glaciale, un air de déjà vu,
Et je sentais en moi une sorte d'amertume.
Mon cœur s'emballa lorsque, là, je l'aperçu.

Un doux visage d'ange, une beauté sans faille,
Je ne pouvais bouger, j'étais comme pétrifié.
Cette douleur insupportable qui me tiraille,
Au plus profond de moi ; je devais me lancer.

Une belle nuit sans lune et sans brume, toujours,
Tu avais disparu Ô toi douce lumière.
Te reverrai-je un jour, Ô toi beauté du jour ?
Je te chercherai, traversant monts et rivières…


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Cadeau Divin



Tu es mon souffle, tu es mon sang,
Toute ma vie, pour toujours,
Je t’aime Ô toi mon amour,
Je te chérirai jusqu’à la fin des temps.

Tu es un ange descendu des cieux,
Venu m’apporter amour et bonheur.
Douce et radieuse, tu as envahi mon cœur,
Fragile et pure tu resteras à mes yeux.

C’est pourquoi je veux te garder près de moi,
Te protéger et t’aimer telle est ma destinée,
Je ne pourrai te perdre Ô toi fatale beauté,

Je veux vivre et mourir avec toi.
Exister sans toi serait impossible,
Tu es mon seul amour, Ô toi déesse sublime.


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Je t’attends


Maintenant, encore,
Je t’attends,
Je songe, je pense,
Je t’attends, là.

Où es-tu ? Qui es-tu ?
Je suis là à t’attendre,
Te rencontrerai-je un jour ?
Je suis toujours là à t’attendre.

Existes tu ? Me connais tu ?
Je te cherche.
Près de moi ? A l’autre bout du monde ?
Je te cherche toujours.

Bientôt ? Jamais ? Non…
Nous nous rencontrerons un jour,
Et nous nous aimerons pour la vie,
Ô toi mon Amour.



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un de mes préférés :

Fleurs Féeriques


Fleurs écloses, fleurs typiques,
Fleurs aux courbes féeriques,
Fleurs des champs, fleurs des villes,
Fleurs aux pétales subtiles.

Epines au cœur, épines au corps,
Epines cachant une grande candeur,
Epines fringantes, épines piquantes,
Epines aux mille beautés fuyantes.

Parfum charmeur, parfum provocateur,
Parfum divin telle la fleur,
Parfum venin, parfums malsain.

La Fleur est femme,
L’épine est flamme,
Son parfum enivre mon âme.



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si vous prenez les premieres lettres de chaque vers vous aurez le nom d'un groupe de "musique" Sopor Aeternus.

Echiquier


Suis-je devenu Fou,
Ou bien Roi,
Pour celle devenu ma Reine ?
O toi qui a réussi à combler ce cœur vide,
Réjouis de battre enfin à son Tour.

A tes côtés je veux être,
Enlacé de tes bras,
Trouvant chaleur et réconfort.
Enfin je ne suis plus un simple Pion,
Regarde moi je t’aime,
Nul ne peut savoir à quel point.
Ultime exultation de ne plus faire Cavalier seul,
Saveur d’une nouvelle vie d’amour.


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Océan

C’est au fond de l’océan,
Que ma sirène m’attend,
Dans les obscurs profondeurs,
Illuminées par son bonheur.

Poissons et coraux m’accueillent,
M’indiquant la route à suivre ;
Je me sens fragile comme une feuille,
Lorsque j’aperçois ce palais d’or et de cuivre.

Je vais enfin être à ses côtés,
Dans cet océan féerique,
De mille teintes bleutées.

C’est un moment onirique,
Elle se tient là devant moi ;
Sirène et Ange à la fois.

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Voilà et demain je posterai ceux qui ne sont pas "eau de rose"

Bah pourquoi attendre demain... aller zou !

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celui ci a été écrit lors d'un gros moment de déprime total

Sombre Destinée


Dans les bas fonds obscurs,
Seul et désespéré,
Ecoutant la Mort s’approcher,
Prête à prendre son âme impure,

Il attendait sans bouger,
Des larmes ruisselaient sur son visage,
Pour s’échouer dans ses mains crispées,
Quelques souvenirs lui revenaient par images.

Des silhouettes s’évanouissant dans l’obscurité,
Une vie désuète et inutile,
D’errance et d’espoirs futiles,
Vide de tout sens, remplie de culpabilité.

La Mort était là, sa faux en mains,
L’homme frissonnait, envahi par le froid,
La faux s’abattu, ce fut la fin.

Cet homme là c’était moi…


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ce n'est pas du vécu rassurez vous pour celui ci ^^

Avance


Là devant ta tombe,
Des fleurs à la main,
Seul dans la pénombre,
Du soir au matin.

Me sentant abandonné,
Seul et désespéré,
Tu m’as quitté précipitamment,
Et nul ne sait comment.

Si tu savais comme je te hais,
Comme je veux te rejoindre,
Comme je t’aimais.

Il me faut maintenant avancer sans crainte,
Car un jour je te reverrai,
Et nous serons heureux à jamais.

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Renouveau



Le monde s’écroule indubitablement,
La haine ravage les Hommes qui n’en sont plus,
Corrompus par un simple sentiment ;
Dans leurs veines coule une vie perdue.

Pouvons-nous rembobiner le temps ?
Effacer cette bande puis recommencer ?
Une issue de couards qu’on entend souvent,
Une échappatoire bien trop simple à envisager.

Les bombes s’échouent comme des larmes,
L’Amour a été enterré par les armes,
Le flux de la Vie s’écoule dans l’entonnoir de la Mort.

Le silence remplace maintenant les cris de peur,
Le calme règne désormais sur cette terre dévastée,
Indubitablement le monde s’est écroulé.

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Papillons


Volez et emmenez nous,
Je vous appelle, messies aux ailes chamarrées,
Libérez nous de ce corps impur,
Sauvez nous de ce monde injuste.

Papillon des Ténèbres aux couleurs sang,
Chante pour notre pardon,
Répands dans nos cœurs ta sanction,
Choisi ta juste punition.

Papillon de Lumière, bats de tes ailes argentées,
Souffle un vent rédempteur,
Sonne le glas du Renouveau.

Volez et emmenez nous sous un ciel plus bleu,
Je vous en conjure, êtres divins,
Papillons du destin …


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ici pour le "D." du titre il s'agit de la premiere lettre de mon prénom...

End of D.


Trop de choses s’éparpillent et s’éclatent,
Dans ce monde où tout se meurt,
La vie n’est qu’une illusion de bonheur,
Faux espoir et triste réalité jamais ne nous ratent.

Trop d’imbéciles consomment et s’en réjouissent,
Dans ce monde où tous se meurent,
La mort est une réalité à jamais qui demeure,
Egoïsme et avarice n’en est qu’une esquisse.

Trop de toi m’inspire et m’aspire,
Dans ton monde duquel je me retire,
Sans larme et sans rire.

Trop de moi s’épuise et dépérit,
Dans mon monde duquel je te retire,
Sans larme et sans cri.


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Voilà. FIN.


un ptit commentaire ? huhu ^^

hihi zouli tout ca , ji vi mittre li miens aussi alors ^^

( Voici certains poêmes que j'ai écrit il y a quelques années déjà )

Le Loup Blanc

Un loup solitaire et abandonné , et cela depuis des années ,

Erra toute sa vie , sans avoir de but précis .

Il marchait de par la force du vent , en observant tous les changements ,

Des personnes alentours , sans vraiment attendre son tour .

Certains arrivaient , d'autres disparaissaient ,

Mais toujours esseulé , il restait de son coté .

Pour lui le temps n'existait pas , il ne ressentait aucunes joies ,

Seulement un vide profond , sans vraiment en comprendre le fond .

Pour lui la vie était sans saveur , à part le parfum des fleurs ,

Mais son coeur restait toujours vide , et ses yeux si humides .

Mais en cette fin d'été , d'un coup il s'est arreté ,

Il n'était plus question d'avancer , ni mème de bouger .

Pour lui s'était la fin , car il n'avait plus goût à rien ,

Alors il trouva un arbre pour s'y blottir , et s'y laisser doucement mourir .

Son coeur de chagrin saignait si fort , qu'il sentit enfin la mort ,

Ses tourments allaient cesser , le soulagement de ne plus y penser .

Mais soudain à l'apogée , de sa mort il fût tirée ,

Par une main d'une tendre douceur , qui vînt lui caresser le coeur .

Elle était la à le regarder , les yeux emplis d'une grande bonté ,

Sans un mot elle lui sourit , et à son tour il lui rendit .

Une louve solitaire , qui sans grande manière ,

A su caresser son coeur , et essuyer ses pleures .

Pour lui tout a changé , il sut enfin qu'il pouvait partager ,

Tout cet amour oublié , depuis toutes ces années .

Pour cette louve merveilleuse , et si belle à ses yeux ,

A son tour il peut l'aider , a son tour il veut l'aimer .

Qu'elle sache dés à présent , qui lui donne ses sentiments ,

Il sera la pour la protéger , et ce jusqu'à l'éternité .


Un petit bout de terre


Voila l'histoire d'une personne ,

Dont le coeur souffre terriblement .

Non pas qu'il soit malheureux ,

Mais qu'il se sent si seul , si loin de tout .

Il se sent comme sur un petit bout de terre ,

Séparé du cycle de la vie ,

Comme oublié de tous .

Ces pensées sont ailleurs ,

Elles ne sont mème pas pour lui .

Elles sont destiné à une autre personne ,

Une personne qui représente sa vie .

Cette personne , il ne l'a pas vue depuis plusieurs jours ,

Mais pour lui c'est comme des années , une éternité .

Il ne peut s'empècher d'y penser chaque minutes , chaque secondes ,

Il se demande ce qu'elle peut bien faire à cette instant précis .

Est elle heureuse ou bien malheureuse ?

Est ce qu'elle rit ou pleure t'elle ?

Pense t'elle un peu à lui ?

Ou est elle dans un autre monde loin de lui .

La sur son petit bout de terre , il regarde le ciel ,

Et se laisse aller à toutes ces questions et s'abandonne .

Il se rappel le jour ou il lui offrit ces deux boites en verre ,

L'une contenant une goutte de ses larmes ,

L'autre une goutte de son sang .

Il se demande si elle les a mélangées ,

Ou si elle les gardes séparées .

Il se demande si la larme a séchée et si la goutte de sang c'est tari .

Il se dit aussi qu'il ne devrait pas se poser autant de questions ,

Mais il livre un combat avec ses émotions .

Parfois il s'en veut de se sentir si faible ,

Il voudrait être plus fort , il voudrait être un homme .

Il s'imagine la voir devant lui ,

Il s'imagine l'enlacer et l'embrasser .

Il se voit l'étendre délicatement sur le sol ,

Lui caresser tendrement le visage ,

Lui poser un doux baiser sur les lèvres .

Il arrive mème à ressentir sa peau si douce glisser contre la sienne ,

Sentir son souffle lent et chaud envahir son cou ,

Et dans un élan de grande passion , ne faire qu'un avec elle .

Lui donner tout ce qu'il possède au fond de son coeur et son âme ,

Qu'elle puise en lui tout ce qu'elle veut quitte à en mourir .

Mais le ciel sombre et orageux , le font revenir à la réalité ,

Sans mème avoir un abri , il reste assis sous la pluie ,

Sur son petit bout de terre en attendant ,

Qu'elle n'ait pas oubliée le chemin de sa vie ,

Et qu'elle vienne lui prendre la main pour s'envoler ,

Loin de cette terre abandonnée et froide , car il l'aime plus que sa vie .


Un enfant


Esclaves de nos vies ,

Manipulés par nos coeurs ,

Nous ne sommes que corps futiles ,

En attendant le libérateur .



La course éfreinée ,

Vers notre destinée ,

Ne nous laisse pas le temps ,

De voir cette main que nous tend l'enfant .



Chaques secondes , sur l'horloge du temps ,

Pour des fautes qui pèsent sur notre conscience ,

Etre tourmenté et faire pénitence ,

Mais toujours cette main que nous tend l'enfant .



Vouloir ignorer , ne plus vouloir saigner ,

Alors que la bas au loin dans le vent ,

Pendant que nos âmes cherchent à expliquer ,

Il y a toujours cette main que nous tend l'enfant .



N'attendons pas d'avoir expié , toutes nos fautes et nos péchés ,

Et sachons prendre le temps ,

En laissant le reste de coté ,

D'agripper cette main que nous tend l'enfant .



De son sourire éclatant , et de ses yeux si brillants ,

Il me fait maître de ma vie ,maître de mes sentiments ,

Je me sent maintenant libéré ,

Je peux à nouveau respirer .



Peut être qu'un jour je le reverais ,

Et à son tour il serat amené ,

A devoir arréter le temps ,

Pour prendre cette main que lui tendra un enfant .


A jamais


Evocation de la peur ,

Assimilé au mal ,

Vous êtes remplis de terreur ,

En voyant cet animal .

Je ne suis pourtant qu'un loup ,

Un être vivant sur cette terre ,

Je n'ai rien contre vous ,

Je ne traverse que vos terres .

Chassé pour des raisons ,

Inventé de par le passé ,

Vous sortez de vos maisons ,

Pour essayer de me traquer .

Vous me dites prédateur ,

Mais vous l'êtes tout autant ,

Animal sans coeur ,

Et vous la dedans ?

Je n'aspire qu'à vivre ,

Sans être dérangé ,

Mais vous aimez revivre ,

Les actes du passé .

Laissez moi donc aimé ,

Celle pour qui bat mon coeur ,

N'essayez pas de m'arréter ,

Ce serait une erreur .

Ma louve ma bien aimé ,

D'une si grande douceur ,

Ho ! si vous pouviez la regarder ,

Vous oublieriez votre rancoeur .

Quand elle est à mes cotés ,

Je ne sent plus ce froid ,

Je ne peux que l'aimer ,

Et l'enlacer tout contre moi .

Elle est si merveilleuse ,

Et d'une gentillesse innée ,

Que je veux la rendre heureuse ,

Et à jamais l'aimer .

Sans mème savoir nos vies ,

Vous continuez à nous chasser ,

A votre avis ,

Qu'avez vous à gagner .

Un jour prochain ,

Vous me trouverez ,

Et par un beau matin ,

Vous me tuerez .

Mais sachez que malgrès tout ,

Vous ne pourrez jamais enlever ,

Tout cet amour ,

Que j'ai put lui donner .


Tombe la neige ( petit conte de noël ^^ )


C'est un grand manteau blanc,

Qui recouvre le paysage,

Dans une ruelle cet enfant,

Se couvre le visage.

Cette nuit éblouissante,

Par une lune généreuse,

Nous montre cet enfant,

Une petite fille malheureuse.

Recroquevillée, à demi-nue,

Tapi dans ce coin de rue,

Elle tend une main tremblante,

Pour quelques pièces sonnantes.

Mais la ville est endormie,

Car il est plus que minuit,

Mais sans relâche elle tend devant sois,

Cette main prise par le froid.

Le vent se lève pinçant,

Les joues frêles de cet enfant,

Et cette neige venant du grand pôle,

A nouveau s'abat sur ses épaules.

Ses yeux écarquillés et ébahis,

En voyant ces flocons de minuit,

Brillent en oubliant,

Ce froid meurtrissant son sang.

Mais peu à peu dans un silence,

Les yeux mis -clos et sans souffrance,

Cette petite flamme vacille,

La vie lentement quitte cette petite fille.

Cette nuit la sans savoir pourquoi,

Les cloches ont sonné,

Un tintement par cent fois,

A réveillé le quartier.

Aux fenêtres perchées,

Les villageois ensommeillés,

Virent cette stature imposante,

De cet homme vieillissant.

Vêtu de rouge et accompagné,

D'un traîneau de cent cerfs ferrés,

Dans ses bras emmitouflés,

Une petite fille s'y blottissait.

Délicatement il vint la poser,

Dans son traîneau pour l'emmener,

De son grand manteau la réchauffer,

Pour voir un sourire s'esquisser.

Un sifflement anodin,

Ordonna le départ,

Et dans une traîné d'or fin,

Le traîneau s'en alla.

Depuis chaque années,

Une fois la nuit tombée,

Des centaines de bougies brillent dans le vent,

A la mémoire de cet enfant.

C'était un 24 décembre,

Une nuit marquée de blanc,

Une fillette c'est envolée,

Pour connaître la joie à tout jamais.

J'aime beaucoup "A jamais" et "Le loup blanc" ! ^^

Aimant moi même les Loups ca renforce ^^

Sinon pour le "petit conte de noël" j'en avait un mais il n'a pas été très travaillé ^^

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Marchand de rêve


C’était une nuit de fête,
Des étoiles plein la tête,
Des sourires par milliers,
Dans un lieu familier.

Un bonhomme tout en rouge,
Des cadeaux à la main,
Tous tendus un à un,
Dans mes paumes qui ne bougent.

Un traîneau au lointain,
Je le vois s’envoler,
Dans un ciel étoilé,

Je salue d’une main,
Je souris puis me lève,
Merci, Marchand de Rêve …

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Voilà ^^

Héhé ^^

( Bha mon pseudo sur le net depuis presque 10 ans est Loup-Blanc ^^ donc voila , j'aime les loups tout simplement )

C'est vraiment très beau....

Pour ma part, je citerais cette phrase, dont j'ignore l'auteur :

"Ce qui est vivant, fais-le mourir : c’est ton corps. Ce qui est mort, vivifie-le : c’est ton coeur"

Bon jeux à tous^^