Le cercle de la vie n’a ni début ni fin !
Mais si je devais résumer l’éternité je dirais que mon histoire commence comme cela.
Je naquis, il y a trois siècles, dans un petit village au pied du mont Hyjal, ma naissance était improbable.
Dans un premier temps car notre race à l’époque où nous étions immortelle n’était pas réputer comme ayant le plus fort taux de natalité
Mais aussi car mes parents étaient de très grands druides
Les druides ayant une fâcheuse tendance à dormir dans les profondeurs du rêve d’émeraude il était donc difficile d’unir deux personnes dont le réveil n’est pas simultané.
Je naquis cependant, et ma naissance fut une si grande euphorie que mes parent me baptisèrent ainsi Euphorine LifofTree.
Ainsi tout naturellement je suivie leur trace en m’accomplissant en tant que druide sur cette même vois.
Ainsi lorsque ceux-ci durent dormir pendant des siècles dans les rêves cristallins.
Je fus affectée à une toute autre tache que de ramasser des herbes pour les alchimistes de mon village.
Je deviens une gardienne de Feu follet, ces petites boules d’énergie, comme des milliers de moutons espiègles pâturaient dans les grandes forêts d’Ashenvale.
J’étais fière de protéger ces entités qui nous étaient symbiotiquement liées dans une quête des plus vitales telles que la cueillette de ressources.
Mon travail consistait donc à protéger notre bétail des créatures nuisible.
Soléyare un Arbre d’éternité était mon seul compagnon de route.
Ces magnifiques Tréans était rares dans notre monde et j’étais heureuse de partagée cette quête avec une si formidable créature.
Il n’était pas rare de me promener sur les plus hautes cimes de ces branchages pour me mêler avec les milliers de papillons dorés qui lui tournaient autour.
Leurs battements d’ailes, comme des milliers de caresses me faisaient frissonner à chaque fois.
Ainsi, un jour, lorsqu’Elune détourna son regard, je laissai la surveillance des Feu follet à Soléyare.
Après m’être débarrassée de tout cet attirail de cuir qui pesait terriblement sur mes frêles épaules je me glissai dans les eaux revigorantes d’une rivière jusqu'à la taille.
Quelle exquise sensation, que de sentir une goutte d’eau descendant le long de mon épiderme au teint rosé, ainsi que de laisser mes longs cheveux argentés ballottés sur les flots de cette rivière cristalline.
Pendant ces longues heures de pure délectation je me mettais à rêver, j’avais toujours voulu une vie plus palpitante, mes cercles d’évolution était nul depuis trois siècles d’existence, notre monde était immuable et je m’ennuyais terriblement.
Ainsi Elune du écouter ma prière, car dans un grand fracas de rocs et de roches et de branches entrechoquées, je vis mes milliers de brebis s’éclipsé.
Volant comme une nuée d’abeilles hystériques mes Feu follets virevoltaient n’importe où ne sachant où aller !
Les arbres uns à uns s’écroulaient, ces mêmes arbres immuables qui chaque jour m’accueillait en leur sein, meurtris, découpés, fracassés, cette vision apocalyptique perdurait.
Je sautais de roche en branche évitant de me faire écrabouiller comme certaine de mes brebis qui n’avait pus fuir, éclatant sous l’impacte de ces géants.
Les branches m’écorchaient dans ma course, les rocher m’entaillaient dans ma fuite, mais je ne pus éviter cet arbre, me protégeant de mes bras, fermant les yeux comme résigné devant l’inévitable. Je fus écrasée.
Fracassé, propulsé par une force supérieure un peu plus loin, mon dos heurta un rocher, mais je réalisai que trop vite que même si j’avais échappé à la mort sous cet arbre. C’était par le seul fait que Soléyare ais pris l’impacte a ma place m’ayant épargné, il s’était sacrifier me poussant le plus loin possible prenant le choc de plein fouet.
Mon corps tremblait face à cette vision d’horreur de ce qui restait de mon ami, seul son visage de Tréant perdurait, il avait l’air heureux, mais des larmes d’ambres coulait encore de ses yeux.
Meurtris, je me relevais péniblement, mes larmes ne cessaient de coulé, et c’est ainsi que je les ais vus !
Leur peau verte comme baigner du sang de mon ami, leur posture barbare, c’étaient eux qui dévastaient notre foret, c’étaient eux qui m’avaient fait perdre mon ami le plus chère.
Impuissante je courus le plus vite possible, sautant de branche en rocs, courant jusqu’à en oublier de respirer, manquant de salive ma haine envers eux était ma seule énergie, mes blessures n’était rien ma fatigue ne serait rien tant qu’ils ne seront pas tous mort de ma main.
J’allais sombrer, mes idées allaient disparaître, mon corps ne me répondait plus c’est ainsi que j’apparue devant mon mentor Cénarius.
Pris de rage celui-ci attaqua le camp de Grom Hellscream, mais il n’y a aucune issue même pour les plus hardis, lorsque la passion étrangle tout jugement ! Et Cénarius fut démit.
Ainsi commença ma croisade contre les Orcs, ils m’avaient tout pris j’allais leur prendre beaucoup.